FRAC et bulles. Le musée aujourd'hui, entre l'art et le champagne
Reims, France. Une citoyenne, connaisseuse et amateur d'art, envoie une lettre de désapprobation au Ministère de la Culture français et à la direction du FRAC Champagne-Ardenne. Dans cette lettre on y trouve l’indignation d’une personne connaissant la nature publique de cette institution muséale; elle est scandalisée de la gestion actuelle de la collection.
La citoyenne fait remarquer que le FRAC se doit de collecter des œuvres d’art contemporain en déclarant dans son courrier le détournement de sa vocation initiale, et se montre offusquée du fait de la privatisation d’une entité qui est née comme une collection publique, réalisée avec les deniers publics, donc payée, en finalité et de façon concrète avec les impôts que l’État prélève aux contribuables.
Mais qu’est le FRAC? Quel est le motif d’une telle indignation? Pour ceux qui ne le connaissent pas, voici ce que dit le site officiel: Les Fonds régionaux d’art contemporain (Frac) sont des collections publiques d’art contemporain créées en 1982 dans le cadre de la politique de décentralisation mise en place par l’État avec les nouveaux Conseils régionaux, pour permettre à l’art d’aujourd’hui d’être présent dans chaque région de France. Leur mission première est de constituer une collection, de la diffuser auprès de différents publics et d’inventer des formes de sensibilisation à la création actuelle. On dit en effet qu’il s’agit d’une organisation publique tant dans son fonctionnement que dans sa gestion dont la mission réside à créer une alternative aux circuits privés de l’art contemporain, de fait on peut y lire: À côté des circuits privés de diffusion de l’art (comités de collectionneurs et de financeurs) sujets aux aléas de la conjoncture économique, le modèle des Frac constitue une alternative et une garantie de continuité. C'est ce qui en fait est le FRAC et qui a toujours caractérisé la gravité de son approche et sa propagation dans les différents territoires de la France, en constituant un modèle vertueux de collection dynamique et ouverte aux nouvelles acquisitions.
Retournons à la lettre qui, partant de Reims, est envoyée au Ministère de la Culture pour interpeler Madame la Ministre sur cette étrangeté tant politique que sociale. Le scandale et la désapprobation dans cette lettre consiste dans le fait qu’aujourd’hui, apparemment et de façon temporaire, le FRAC Champagne-Ardenne est en voie de restructuration et se doit de quitter son siège originel, sa collection n’est donc plus visitable, hormis une petite partie redistribuée et réorganisée dans une exposition au titre d’« Une Odyssée : les 30 ans du FRAC Champagne-Ardenne » qui a trouvé l’hospitalité dans le prestigieux siège des caves du Champagne Pommery. L’exposition fête le 30ème anniversaire de cette collection publique et le fait, sous la curatelle de Florence Derieux, directrice du FRAC Champagne-Ardenne, dans un lieu on ne peut plus privé...
L’indignation de notre interlocutrice française, comme nous l’avons dit, l'a incitée à envoyer une lettre recommandée riche d’informations et de détails, à Madame Aurélie Filipetti, Ministre de la Culture, laquelle pour toute réponse a choisi de ne rien faire, aucun retour de courrier, même laconique...
Suite à ce préambule, nous avons cherché à mieux comprendre cette situation, en visitant l’exposition et les caves, et en espérant de surcroît un verre de bon champagne.
Le résultat de notre visite a été décidément plus dépriment encore que ce que la lettre nous laissait imaginer. Voilà ce que nous avons trouvé dans les caves Pommery: un énorme écriteau au néon avec le nom du FRAC a l’entrée des visiteurs dans la grande salle centrale, accessible par des tourniquets électroniques qui interdisent d'entrer a ceux qui au préalable n'auraient pas acquis leur billet: Surréaliste !
Première observation en rapport avec la lettre de notre interlocutrice: FRAC n’était il pas gratuit? Dans le fond on parle d’un événement spécial, d’un anniversaire, d’une exposition exceptionnelle. Essayons de mieux nous informer.
A la billetterie on nous déclare que le prix du billet est du à l’organisation que Pommery a mis sur pieds pour attirer les visiteurs: une visite guidée obligatoire des caves accompagnera les amateurs d’art à connaître les techniques d'embouteillage du champagne, en essayant de voir les œuvres d’art éparses qui ont été habilement disposées d’une gallérie à l’autre, dans l’immense espace souterrain où nous nous sommes engloutis. Mais pas seulement... à la fin de la visite guidée obligatoire, il sera offert à tous un verre de champagne Pommery oblige. Super! Avons-nous pensé fugacement; puis arrive le prix, et là nous restons interdits.
Mais hormis le prix du verre de champagne, que reste-t-il de l’exposition publique et de son contenu, de sa nature gratuite, que la visite guidée aurait pu sauter et ce qui par ailleurs a été fait en partie sans vergogne?
Mais partons! L’inconfort en réalité vient de la longueur d’une visite exténuante et obligatoire, avec des étapes forcées, dans les galeries interminables des caves.
Notre guide a parfaitement gérée les explications reprenant chaque détails de la technique d’embouteillage, de l’inclinaison et des différents changements du champagne lors des étapes du vieillissement, du remuage des bouteilles; puis nous a parlée des diverses typologies du champagne, ainsi que de la taille de certaines bouteilles, grandes certes et que l’on se devait d’admirer en tournant autour...
Plus d’une demie heure, mais on aurait pu aussi choisir la visite d’une heure, pour écouter plus de détails encore, en marchant pour suivre cette demoiselle magistrale dans ses explications œnologiques.
Et les œuvres d’art? Voilà, j’en aperçois une dans un angle entre une galerie et l’autre, puis une seconde dans une niche, puis d’autres encore. Je ne peux dire combien il y en a, on les voit de façon fugitive, notre guide ne consentant pas à s’arrêter, ce n’est pas prévu dans la visite... Nous ne voyons aucunes indications, pas plus que des informations nous aidant à comprendre la volonté et au minimum le nom des œuvres et de ces artistes, le tout caché au milieu d’une montagne de bouteilles.
Et nous qui se plaignent des bureaux officiels, et amenons l’Art dans nouveaux sites parce qu’il vit au milieu des gens et respire l’air qu’il y a dans le monde, hors des musées. Ah! A quel déceptions de n’avoir pu s’arrêter pour regarder une vidéo, et de n’avoir ne serait ce qu’un instant a disposition l’information sur l’œuvre et les feuillets d’explications !!!
Nous sommes bien évidemment ouverts à la réalisation d’exposition d’art contemporain dans des lieux étranges et inattendus, mais là non, c’est trop, une vraie punition, avec une explication complète sur la fermentation au milieu d’une énième pile de bouteilles!
La visite terminée nous nous sommes approchés de notre guide pour lui demander des explications sur les artistes que nous avions entraperçus durant la visite. Nous lui demandons s’il y avait des légendes que nous n’avions pas vu. Elle nous répondit de façon péremptoire: il y a le catalogue au bookshop. Vous y trouverez les informations. Il faut les acheter.
Je regarde atterrée, mais mon regard rapidement attirée par la vision du bar avec le garçon qui verse la champagne aux visiteurs, nous nous y rendons et voilà que notre visite se termine, avec un demi doigt de champagne dans un verre aussi petit que celui de le cuisine de Barbie; nous le savourons lentement, il est tiède et nous n’avons même pas les cacahuètes...
Pour en revenir à la lettre de notre lectrice française, on aurait pu s’y fier et ainsi éviter le stress de la visite avec 3 degrés centigrades, humidité, dans un lieu claustrophobique.
Mais essayons de revenir à la réalité de cette réflexion, au delà de l’ironie qu’il puisse être facile de faire dans certaines situations. On comprend alors très bien la raison de l’indignation de ceux qui croient toujours aux valeurs républicaines et leurs fonctions.
Quel est cette fonction?
Protéger et défendre le citoyen que l’on veut transformer en consommateur, encourager une fruition démocratique qui permettent a tous d’accéder aux collections payées avec les impôts de chacun, et véhiculer la valeur de l’art et de la culture dans la communauté, c’est le cas spécifique de l’institution du FRAC qui propose un modèle d’association inédit entre les collectivités territoriales et l’État.
Pourquoi avons-nous écrit cet article?
Pour rappeler au “petit” monde que nous pouvons réfléchir sur la signification du pouvoir de s’indigner, car il y a encore quelqu’un qui après une telle blessure a la conscience d'agir, rentre chez elle, prend un papier et un stylo pour faire un courrier et demander des explications.
Ce n'est pas un scandale, ni une nouveauté; le mécanisme de la marchandisation de la culture a été actif pendant une longue période, mais il faut faire attention et faire la distinction de part les diverses stratégies de marketing qui l'accompagnent le "partnership" parmi les institutions publiques et les marchés privés. Si nous voulons, la présence du champagne dans les disciplines artistiques auxquelles il est dorénavant associé, vu la quantité notable d'événements et le battage médiatique conséquent mis en route par Dom Perignon dans les plus grandes villes du monde, avec le slogan The power of creation. Versailles, Los Angeles, New York ont créées des événements mondains dans lesquels le champagne était au centre des attentions, grâce à l'exclusivité des dégustations. The power of creation est ainsi arrivé en Italie où il a pris des tons et des stratégies certainement plus politiquement correct. De Fait, récemment le MUVE (Fondations des musées civiques de Venise) à signé un accord a de Dom Perignon pour la restauration et la récupération à usage d'exposition de la Ca Pesaro. Un projet à caractère conservatoire, en harmonie avec le contexte historique de la ville, et qui va se conclure avec une exposition dans laquelle l'on verra exposé au publique au travers d'œuvres d'art, la documentation faite lors de la restauration. L'exposition aura lieu cet automne... et nous vous en tiendrons informés.
FRAC e bollicine. Il museo contemporaneo tra arte e champagne
Reims, Francia. Una cittadina, amante dell’arte, conoscitrice e collezionista non di professione, indirizza una lettera di denuncia al Ministero della Cultura francese e alla direzione del FRAC Champagne-Ardenne.
Nella lettera troviamo l’indignazione di chi, conoscendo da tempo la natura pubblica dell’istituzione museale, il FRAC per l’appunto, che raccoglie le opere della collezione contemporanea della regione, è scandalizzato dalla sua attuale gestione.
La cittadina dichiara nella lettera una vocazione repubblicana e si dice offesa dalla privatizzazione in atto di un ente che nasce come collezione pubblica, realizzata con il denaro pubblico, pagata dunque, in termini concreti, dalle tasse che lo Stato impone ai contribuenti.
Ma cosa è esattamente il FRAC? Qual è il motivo di tanta indignazione? Per chi non lo sapesse, attingiamo al sito ufficiale: Les Fonds régionaux d’art contemporain (Frac) sont des collections publiques d’art contemporain créées en 1982 dans le cadre de la politique de décentralisation mise en place par l’État avec les nouveaux Conseils régionaux, pour permettre à l’art d’aujourd’hui d’être présent dans chaque région de France. Leur mission première est de constituer une collection, de la diffuser auprès de différents publics et d’inventer des formes de sensibilisation à la création actuelle. Si tratta quindi, in effetti di un’organizzazione del tutto pubblica che, anzi, nella sua mission, si propone di costituire un’alternativa al privato. Leggiamo infatti: Rispetto ai circuiti privati di diffusione dell’arte (collezionisti e finanziatori) soggetti agli alti e bassi della situazione economica, il modello dei FRAC costituisce un’alternativa e una garanzia di continuità. Questo è ciò che in effetti il FRAC rappresenta e che ha sempre contraddistinto la serietà del suo approccio e la sua diffusione in diverse aree e territori della Francia, costituendo un modello virtuoso di collezione dinamica e aperta alle nuove acquisizioni.
Torniamo allora alla lettera che da Reims parte alla volta dello Stato centrale, per intercettare la sensibilità politica e sociale del ministro dei beni culturali.
Lo scandalo, denuncia la cittadina francese, consiste nel fatto che oggi, apparentemente in via temporanea e in funzione di una ristrutturazione della sede originaria, la collezione del FRAC Champagne-Ardenne non è visitabile, mentre una sua parte è stata organizzata nella mostra dal titolo Une Odyssée: les 30 ans du FRAC Champagne-Ardenne che è ospitata dalla prestigiosa sede delle cantine Champagne Pommery. La mostra festeggia il 30° anniversario della collezione pubblica e lo fa, con la curatela di Florence Derieux, direttrice del FRAC Champagne-Ardenne, in un luogo decisamente privato.
L’indignazione della cittadina francese, come abbiamo detto, ha generato una lettera con una richiesta di informazioni e giustificazioni, da parte della direzione e del ministero, i quali, per tutta risposta, hanno scelto di non fare nulla. Nessuna replica, neppur laconica.
Questo è l’antefatto, noi abbiamo cercato di comprendere meglio, visitando la mostra e le cantine, sperando anche in un bel bicchiere di Champagne.
Il risultato della nostra verifica è stato decisamente più deprimente di ciò che la lettera stessa ci aveva lasciato immaginare. Ecco cosa abbiamo trovato nelle cantine Pommery: una enorme scritta al neon con la sigla del FRAC accoglie i visitatori nella grande sala centrale, ma la soglia tra questa e l’ingresso è costituita dai tornelli che impediscono l’entrata a chi non è munito di biglietto. Ma come? - prima osservazione, condivisa con la lettera suddetta – il FRAC non era gratuito? Passi... In fondo si tratta di un evento speciale, di un anniversario, di una mostra eccezionale. Informiamoci meglio. Alla biglietteria chiariscono che il costo del biglietto è dovuto all’organizzazione che Pommery ha messo in piedi per rallegrare i visitatori: una visita guidata obbligatoria alle cantine, accompagnerà i fruitori dell’arte a conoscere le tecniche di imbottigliamento dello Champagne, consentendo altresì di osservare le opere d’arte che sono state abilmente dislocate tra una galleria e l’altra, nell’immenso spazio sotterraneo che le ha inghiottite. Non solo… alla fine della visita guidata obbligatoria, a tutti verrà offerto un bicchiere di Champagne Pommery. Evviva! Pensiamo per un momento; poi arriva il prezzo e lì restiamo interdetti. Forse va ben oltre il costo di quel bicchiere, del resto non si giustifica con la fruizione di una collezione pubblica, per sua natura gratuita, forse la visita guidata si potrebbe pure saltare. Ma andiamo!
Lo sconforto in realtà viene proprio dalla lunghissima, estenuante, visita obbligatoria, con tappe forzate, alle sterminate gallerie della cantina. La nostra guida è ammaestrata perfettamente per spiegare ogni dettaglio delle tecniche di imbottigliamento, dell’inclinazione, di come questa cambia nel corso dell’invecchiamento, dello spostamento delle bottiglie da un’area all’altra; poi ci sono le diverse tipologie di champagne, la grandezza di certe bottiglie che dobbiamo ammirare con attenzione girandovi attorno. Più di mezzora - ma si poteva scegliere anche la guida di un’ora - ad ascoltare tali dettagli, marciando per seguire la signorina ammaestrata. E le opere d’arte? Ecco! Ne scorgo una nell’angolo di una galleria, poi un’altra in una nicchia, poi altre ancora; non capisco quante siano: le vediamo di sfuggita, non è consentito fermarsi, non è previsto dalla visita. Non troviamo alcuna didascalia, comunque, nessuna informazione ci aiuta a comprendere chi siano gli artisti in mostra, né il titolo dei lavori esposti/nascosti tra montagne di bottiglie. E noi che ci lamentiamo sempre delle sedi deputate! Che portiamo l’arte ovunque in giro, perché viva tra la gente e respiri l’aria che c’è nel mondo, fuori dai musei... Ah! Che fastidio terribile non poter nemmeno fermarsi a godere di un video, né avere a disposizione per un attimo, la didascalica informazione delle etichette, dei pannelli, dei fogli di sala!!! Non siamo certo nuovi alla fruizione dell’arte nei posti più strani, poi l’abbiamo voluto noi il site specific, ma questo è troppo, sarà una punizione? Ci chiediamo tra una spiegazione sulla fermentazione e una sosta all’ennesima pila di bottiglie.
Finita la visita avviciniamo la nostra guida per chiederle come fare a conoscere almeno il nome degli artisti che abbiamo scorto di sfuggita, durante la marcia. Le chiediamo se c’erano indicazioni che non abbiamo notato. Ci risponde in modo semplice e chiaro: c’è il catalogo al bookshop. Lì ci sono tutti i nomi e le informazioni che cerchiamo. Bisogna solo comprarle. Sguardo atterrito, ma presto distolto dalla visione del banco con il cameriere che versa lo champagne ai visitatori, andiamo! Ecco che il nostro giro si conclude, con mezzo dito di champagne in un bicchiere piccolo come quello della cucina di Barbie, lo sorseggiamo lentamente, ma è un po’ caldo, e poi, nemmeno le noccioline.
Tornando alla lettera della cittadina francese, ci saremmo anche potuti fidare, risparmiandoci lo strazio della visita a meno 3 gradi, al buio, in un luogo da claustrofobia. Ma se cerchiamo di tornare ai contenuti, alle riflessioni serie, al di là dell’ironia che è facile fare in certe situazioni, bene, capiamo perfettamente le ragioni dell’indignazione di chi, da sempre, crede nel pubblico e nella sua funzione. Qual è questa funzione? Difendere il cittadino da chi vuole trasformarlo in consumatore, incentivare una fruizione democratica, consentendo a tutti di accedere a collezioni pagate dalle tasse di tutti, veicolare il valore dell’arte e della cultura nella comunità e, nel caso specifico dell’istituzione FRAC, proposent un modèle d’association inédit entre les collectivités territoriales et l’État.
Perché abbiamo scritto quest’articolo? Per ricordare al piccolo mondo che possiamo raggiungere che cosa significa indignarsi, perché c’è qualcuno ancora che dopo una simile ferita alla sua coscienza, torna a casa, prende carta e penna e scrive per chiedere spiegazioni.
Non è uno scandalo, nè una novità; il meccanismo della mercificazione della cultura è attivo ormai da molto tempo. Bisogna però stare attenti, fare le distinzioni tra le diverse strategie di marketing culturale che accompagnano le parntership tra istituzioni pubbliche e marchi privati. Se vogliamo, la presenza dello champagne nel sistema dell’arte è ormai assodata, vista la poderosa mole di eventi e il conseguente battage pubblicitario messi in atto dal marchio Dom Pérignon in diverse sedi nel mondo, con l’operazione The Power of Creation. Versailles, Los Angeles, New York hanno ospitato eventi mondani e discusse performance musicali in cui lo champagne stesso veniva posto al centro dell’attenzione grazie ad esclusive degustazioni. The Power of Creation è così arrivata anche in Italia, dove al momento ha assunto toni e mission alquanto più corrette politicamente. Recentemente, infatti, il MUVE, Fondazione dei Musei Civici di Venezia, ha stretto un accordo con Dom Pérignon per il restauro e il recupero a uso espositivo di due sale della prestigiosa Ca’ Pesaro. Un progetto di carattere conservativo, in armonia con il contesto storico della città, che si concluderà con una mostra, con il medesimo titolo, in cui verranno esposti al pubblico sia di opere d’arte visiva, che la documentazione del restauro effettuato. La mostra sarà inaugurata in autunno. Vi faremo sapere…
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