SuccoAcido aims at the intersection of the languages of different arts, now, thanks to the new intercultural project, also in every possible idiom. The way we have started up with the art editorial staff goes towards a research of contemporary solutions being as interface of the different domains of the visual culture, so active in the construction of new spaces and contexts.
Actually, we believe that any discussion about the contemporary art cannot be made without such approach. The connective texture of arts is always the communication, the discourse, the artist’s desire to approach the most untranslatable idioms intending to overcome them.
We don’t need to point out the communicative potentialities of every sign that the history of the art has transmitted in terms of painting, drawing, architectural project, photo or sculpture.
It is not easy to define the edges, or the boundaries of an expression, and sometimes it still requires a definition either of the work, or the style, or the cultural movement that has generated them, in order to establish and agree a unique and original sense that can be recognized by everybody and that can distinguish a thing from another one.
It happens, then, that in a system dominated by the interdisciplinary and by the post-modern confusion of the codes, special labels are cut out for the form of a particular relationship: the one, for instance, among contemporary art, social sciences, urbanism and architecture is labelled as "Public art."
An other example can be represented by combining criticism and Gender Studies; it is sometimes going to be, an interpretative narrowing, instead of a source of innovation and creative freedom.
The lesson that the cinema keeps on giving to the contemporary culture is the inexhaustible ability to bring into being a dialogue among the arts and to make inextricable semantic levels, which often are underestimated by the audience, and seldom developed by the art criticism.
A text of recent publication: Atlante della memoria by Giuliana Bruno, points out a very interesting way, like putting the emotions on the scale of a geographic map and the whole complexity of the cinema history. The book focuses, in a structural sense, the connections between cinema and architecture, ,through the concept of film editing itself and in a dynamic sense, the relationship with the concrete examples of the art of building.
The artists choose to tell, read and interpret the difference that characterizes them by distinguishing their sentences from the noise of a diffused and advertising, therefore politicized, communication; they do this by establishing a political relationship with the world and with the art itself.
The modality of this interaction should hardly be placed in the categories set by the targets of the fruition, however, these ones keep on steering the choices of curator and gallerists, of foundations and associations, who, living of contemporary art, are nourished of slogans;
they depend on them without any opportunity of avoiding it, because only through specific parameters and tendencies the value of an operation or a choice can be determined.
We will try, therefore, to cross the contradictions due to going beyond the categories of the arts and we will observe the transformations involving small and great projects, no profit spaces, galleries open to the experimentation, single artists, without determining an identity based on the means of the expression.
The sections that we have built, in order to give directions in the magma of such a complex portal, are not linked therefore to the styles or languages, but to the objectives of the artists and the insiders considering the space that welcomes or stimulates the action, the installation, the intervention and the projection as an very eloquent indicator of significance.
Crossing Languages
SuccoAcido a pour objectif de croiser les langues avec différentes formes d’art. Ce nouveau projet interculturel rend un tel croisement possible pour n’importe quel idiome. L’équipe éditoriale a donc débuté en recherchant des solutions contemporaines pour développer une interface présentant les différents domaines en culture visuelle. Elle est aussi active dans la construction de nouveaux espaces et contextes.
Nous pensons effectivement que n’importe quelle discussion sur l’art contemporain ne peut être menée en l’absence d’une telle approche. Cet ensemble de connexions artistiques rime toujours avec communication, discussion, sans oublier le désir de l’artiste d’approcher les idiomes les plus intraduisibles pour mieux les surmonter. Nous ne souhaitons pas mettre en avant tous les possibles en communication transmis par l’histoire de l’Art en termes de peinture, dessin, architecture, photographie ou sculpture.
Il n’est pas simple de définir les objectifs et les limites d’une expression. Cela demande parfois une autre définition concernant le travail effectué, le style ou le mouvement culturel qui l’ont initiée. Il est alors possible d’établir et de s’accorder sur un sens unique et original, reconnu par tous et distinguant une chose d’une autre.
Puis, il arrive que, dans un système dominé par l’interdisciplinarité et la confusion postmoderne des codes, des désignations spécifiques ne correspondent pas une forme de relation particulière. A titre d’exemple parmi l’art contemporain, les sciences sociales, l’urbanisme et l’architecture, une telle forme est appelée “street art”.
La combinaison de la critique et l’étude des genres en est un autre exemple. Il s’agit souvent d’une interprétation restreinte, au lieu d’être une source d’innovation et de liberté créatrice.
La leçon, qu’offre le cinéma et qu’il continue de donner à la culture contemporaine, permet de créer le dialogue entre les différentes formes artistiques et l’enchevêtrement des niveaux sémantiques, qui eux sont souvent sous-estimés par le public et rarement développés par les critiques d’art.
Le texte, Atlante della memoria de Giuliana Bruno, montre de manière intéressante la transposition des émotions sur une carte géographique et la complexité de l’histoire du cinéma. Le livre met l’accent, dans un sens structurel, sur les connexions entre le cinéma et l’architecture à travers le concept de production cinématographique. Dans un sens dynamique il présente la relation avec des exemples concrets dans l’art de la construction.
L’artiste a choisi de raconter, de lire et d’interpréter la différence qui les caractérise en distinguant les phrases du bruit résultant d’une communication diffuse, publicitaire, parfois politisée. Elles y arrivent en établissant une relation politique avec le monde et l’art lui-même.
La modalité de cette interaction devrait difficilement être rangée dans les catégories définies par les objectifs de la réalisation. Cependant, celles-ci continuent de diriger les choix d’un curateur et de galeristes, de fondations et d’associations qui, vivant de l’art contemporain, sont nourris de slogans. Ils dépendent d’eux sans la moindre opportunité de les éviter, parce que la valeur d’une opération ou d’un choix ne peut être déterminée par des paramètres spécifiques, voire des tendances.
Nous allons cependant essayer de confronter ces contradictions en allant au delà des catégories artistiques. Nous observerons les transformations impliquant petits et grands projets, ainsi des espaces à but non lucratif, des galeries ouvertes à l’expérimentation et des artistes uniques sans déterminer une identité basée sur les moyens d’expression.
Des sections ont été définies pour donner des directions dans le magma complexe d’un tel portail. Elles ne sont pas liées à un certain style ou langage, mais plutôt aux objectifs des artistes et à ceux qui considèrent que l’espace accueille et stimule l’action, l’installation, l’intervention et la projection en tant qu’un indicateur très éloquent de signification.
Crossing Languages
L’intersezione dei linguaggi artistici è l’obiettivo di SuccoAcido; oggi, grazie al nuovo progetto interculturale, anche in tutte le lingue possibili. Il percorso che abbiamo avviato insieme alla redazione art va nella direzione di una ricerca sulle soluzioni, a noi contemporanee, di interfaccia tra ambiti differenti della cultura visuale, così impegnata nella costruzione di nuovi spazi e contesti d’azione.
In effetti crediamo che non si possa immaginare di affrontare un discorso sull’arte contemporanea prescindendo da un simile approccio.
Il tessuto connettivo dell’arte è, da sempre, la comunicazione, il discorso, il desiderio degli artisti di avvicinare gli idiomi più intraducibili e proporne un superamento.
Non sta a noi indicare le potenzialità comunicative di ogni gesto che la storia dell’arte ci ha trasmesso in termini di pittura, disegno, progetto architettonico, fotografia o scultura.
Non è certo facile stabilire i contorni, per non dire i confini, di un’espressione e, talvolta, capita di incorrere ancora nella necessità di una definizione dell’opera o dello stile, del movimento culturale che li ha generati, per stabilire, concordare un senso unico e originale che alllo stesso tempo sia riconoscibile da tutti, ma consenta di distinguere una cosa da un’altra.
Succede allora che in un sistema dominato dall’interdisciplinarietà e dalla confusione postmoderna dei codici, si ritaglino apposite etichette alla forma di una particolare relazione: quella, ad esempio, tra arte contemporanea, scienze sociali, urbanistica e architettura che va sotto il marchio di “Public art”. Ancora un esempio può essere rappresentato dal connubio tra critica d’arte , curatela e studi di genere, che, in certi casi, tende ad essere vissuto come una strozzatura interpretativa più che come un bacino di innovazione e di libertà creativa.
La lezione che il cinema continua ad impartire alla cultura contemporanea è proprio quella di un’inesauribile capacità di innescare un dialogo tra le arti e di articolare livelli semantici inestricabili, spesso sottovalutati dal pubblico, raramente sviluppati dalla critica.
Un testo di recente pubblicazione: l’Atlante delle emozioni di Giuliana Bruno, ci indica una strada molto interessante, riportando sulla scala di una mappa geografica delle emozioni, tutta la complessità del racconto cinematografico.
Il libro sonda i legami che il cinema instaura con l’architettura, in senso strutturale, interno, attraverso il concetto stesso di montaggio, e in senso dinamico, nella relazione con gli esempi concreti dell’arte del costruire.
Gli artisti scelgono di raccontare, leggere, interpretare la differenza che li caratterizza distinguendo le loro frasi dal brusio di una comunicazione diffusa, pubblicitaria e, dunque, politicizzata: lo fanno instaurando una relazione politica con il mondo e con l’arte stessa.
Le modalità di questa interazione dovrebbero collocarsi difficilmente all’interno delle categorie dettate dai target della fruizione, eppure questi ultimi continuano a pilotare le scelte di curatori e galleristi, di fondazioni e associazioni che, vivendo di arte contemporanea, si nutrono di slogan, ne dipendono senza possibilità di scampo, perché è soltanto attraverso precisi parametri e tendenze che si può determinare il valore di un’operazione o di una scelta. Cercheremo pertanto di attraversare le contraddizioni che l’apertura dei confini tra le arti ha generato e osserveremo le trasformazioni in atto che coinvolgono piccole e grandi realtà progettuali, spazi no profit, gallerie aperte alla sperimentazione, singoli artisti, senza attribuire a nessuno un’identità legata ai mezzi della propria espressione.
Le sezioni che abbiamo costruito, per orientarci nel magma di un portale così complesso, non sono legate pertanto agli stili o linguaggi, quanto agli obiettivi degli artisti e degli “addetti ai lavori”, prendendo in considerazione lo spazio che accoglie o stimola l’azione, l’installazione, l’intervento e la proiezione, come un indicatore di senso molto eloquente.
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