Voilà ce qui nous occupe. Daniel Larrieu / Compagnie Astrakan Voyage en Drakéole, presque Dijon, Jardins de la DRAC, 41 rue Vannerie Dijon, mardi 26 et mercredi 27 août 19h Trois actes irréguliers : Une danse Persée sauvant l’artiste Andromède, ligoté par son destin, enfin par ses parents La femme dans les sables (é)mouvants Durée 40 à 45 mn Avec : Anne Laurent , Valérie Castan, Jean-Baptiste Veyret- Logerias, Agnès Coutard, Daniel Larrieu / Assistante : Judith Perron / Scénographie : Franck Jamin / Création et régie son : Félix Perdreau /Texte : Marcel Dezel, Patricia Fleurs, avec la complicité de Monsieur HYC / Costumes : Pea Soup Margaret Strechtout Coproduction : ASTRAKAN ; Festival Entre Cours et Jardin / La compagnie Astrakan est aidée par le ministère de la culture et de la communication / direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France, au titre de l’aide à la compagnie chorégraphique conventionnée Raconter des histoires, se laisser emporter par l’image et les mots. Paradoxe de celui qui a choisi la danse comme principal outil artistique. Devant le questionnement du spectateur, là où les mots laissent la place à d’autres médias, existe-t-il une compréhension du mouvement. Liberté, emprise, la contrainte comme source créative. Quatre interprètes en robe d’un soir de semaine, mus par une photosynthèse chlorophyllienne, blanche ou noire pour changer, donneront des perspectives nouvelles, des points de vue qui chantent dans la fin d’un soir d’août Ce projet pour jardin joue entre les récits de rupture dans la musique baroque et des éléments audio d’un ancien mois de Mai, jeux de pistes et de son, de jeux de rôles qui s’inversent. ‘yenaplus yenaplus’ double tours d’écrou, l'étoile brillante du matin, oui je sais nous sommes le soir, l’étoile brillante du matin (une étoile est dans un arbre avec un fil) déjà levée dans les cieux avertissait les humains de commencer leurs travaux comme si de rien n’était. Comme d’habitude !!! Persée, présentant le succès, la renommée en attendant la gloire, et reprenant ses ailes qu’il avait données au garage du coin, des ailes pour mettre le turbo, les attache à ses pieds, s'arme d'un fer courbé, et s'élance dans les airs, qu'il frappe et fend d'un vol rapide. Fendre l’air on le sait, seuls les héros savent faire, les autres s’y enrhument, s’étouffent et restent en place. Icare pour parler que de lui, envolé derrière son père s’y est bien ramassé.
Emmanuelle Huynh et Nicolas Floc’h La feuille diffusion performance d’Emmanuelle Huynh et Nicolas Floc’h Jardins de Barbirey, vendredi 29 et samedi 30 août Après avoir travaillé ensemble pour la pièce Numéro, Nicolas Floc’h et Emmanuelle Huynh continuent avec La Feuille de confronter leurs visions de l’espace sur scène avec une idée simple et forte : des monochromes polymorphes flottent, se dressent, s’évanouissent dans les vides des jardins... Créée à l’occasion d’une exposition de Christophe Cuzin dans la Chapelle du Genêteil de Château- Gontier, cette performance est aujourd’hui reprise et adaptée aux jardins de Barbirey. Chacun connaît ces lieux pour y avoir créées des oeuvres qui ont marqué la programmation d’entre cour et jardins. avec Emmanuelle Huynh, Nicolas Floc’h et Nuno Bizarro régie générale François Le Maguer production CNDC Centre national de danse contemporaine Angers coproduction la Chapelle du Genêteil, Château-Gontier Le CNDC est une association Loi 1901 subventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication Drac des Pays de la Loire, la ville d’Angers, la région Pays de la Loire et le département de Maine-et-Loire. La Feuille a été créée le 15 janvier 2005 à la Chapelle du Genêteil, Château-Gontier. Sophie Pelisset, Damien Fenard, Emmanuelle Ly Lauréats du concours Ecole des Beaux Arts Dijon, Jardin des sciences de l’Arquebuse 8 juillet au 30 août Ces trois jeunes artistes sont les lauréats d’un concours ouvert aux étudiants de l’Ecole nationale des Beaux Arts de Dijon qui s’est déroulé début 2007. Ce projet est mené en commun avec l’Ecole nationale des Beaux Arts de Dijon et le festival Dièse mis en place par la ville de Dijon. Sophie Pelisset L’espace du jardin et ses limites Cette installation évoque la volonté de l’homme d’organiser et de maîtriser son environnement. Le dessin de la partie botanique du jardin des Sciences de l’Arquebuse est tout en angles droits, allées rectilignes et cercles parfaits. Les lignes tracées sur le plan régissent l’ordre des espaces comme celui de la pensée et deviennent ensuite des limites matérielles. Le déplacement: du plan au lieu, de la ligne au volume, suggère de nouvelles directions avec ses décalages et configurations autres. Les structures métalliques qu’elle installe sont des sculptures d’espace venant contrarier la déambulation du corps, signalant le licite et le prohibé. Damien Fenard Relevé identitaire Le jardin de l’Arquebuse est apparu à Damien Fenard comme un « espace dicté et un espace maîtrisé ». Saturé par une multitude de panneaux informatifs, ce jardin génère, selon lui, un poids culturel, d’ailleurs revendiqué comme espace scientifique et botanique. Dans cette situation Fenard a appréhendé la plante sur le mode d’un « objet », reniant sa nature même. Cette situation a conduit l’auteur, selon son expression : « à rétablir une justice décente ». Pour cette raison il a décidé de « mettre sur un pied d’égalité l’homme et la plante ». Son travail, présenté aux trois entrées du parc, adopte une approche typologique du public fréquentant le jardin. Il nous renvoie, non sans humour, s’agissant de nos congénères humains, à la perception de l’entomologiste. Emmanuelle Ly Ma collection d’amoureux Par le biais d’une épigraphie dédiée aux amoureux fréquentant le Jardin, Emmanuelle Ly s’empare d’une problématique de transformation du langage et des mots. Roland Barthes voyait la vérité de l’écriture dans la main qui appuie et dans « le corps qui bat ». Dans la proposition d’Emmanuelle Ly, une inscription mécaniste, pose in situ, la trace des mots comme celle des corps amoureux. L'endroit choisi est un espace où souvent les couples viennent s'asseoir. Ly commente ainsi son travail. « Pour retranscrire plastiquement les unions amoureuses, fusionnelles, j’ai rebaptisé mes amoureux en créant une nouvelle harmonie lexicale. »
Olivier Lecreux performance + vidéos création Jardins de Barbirey, 29 et 30 août, tombée de la nuit Olivier Lecreux est un performeur à l’oeuvre délibérément simple et dépouillée : sa concentration sur un petit nombre d’éléments mis en action – quelques projecteurs pour les ombres, une série de couvertures de survie, … – et sa grammaire gestuelle sommaire – un défilé du lointain vers le public, un face à face avec son ombre lapidée, … – posent un univers qui oscille entre tragédie, gravité et burlesque. « Comme les baroques nous sommes des créateurs effrénés d’images ; mais secrètement nous sommes iconoclastes. Nous nous retrouvons face à un paradoxe, on fabrique des images où il n’y a rien à voir. » Finalement, il propose des performances pour faire entrer le spectateur dans l’image, installant son oeuvre entre perception et expérimentation. Performance pour une cinquantaine de figurants à la tombée de la nuit Coproduction entre cour et jardins Atheneum + Présentation d’enregistrements video de précédentes réalisations d’Olivier Lecreux les 29 et 30 août à partir de 18h30. Grand Magasin Panorama commenté diffusion Commentaire de paysage à l’aide d’un panneau indicateur… Dijon, Parc de la Colombière, samedi 23 et dimanche 24 août, 16h30, 18h Les spectateurs sont invités à prendre place en un lieu clos offrant une vue sur l’extérieur. Ce lieu clos est une tente géante. Cette tente s’appelle ECHELLE 2. Plus la fenêtre est grande, et vaste le panorama, plus la proposition aura d’intérêt. Principes : Un panneau indicateur est disposé près de la baie vitrée. Ce panneau comporte 3 colonnes de 5 cases. Chacune des 15 cases contient une indication. Chaque indication décrit un événement extérieur plus ou moins susceptible de se produire dans le paysage : « une voiture passe », « une lumière clignote », « fumée au loin » etc. Chaque case peut être activée ou désactivée, autrement dit se colorer ou non, sur commande. Une sentinelle observe le paysage et lorsque l’un des évènements décrits se produit, le signale aussitôt en activant la case correspondante. Les cases se colorent donc au gré des caprices du paysage, dont la succession arbitraire donne naissance à d’éphémères constellations. A heure dite pourtant, et grâce à l’intervention calculée de collaborateurs dispersés dans le site, les évènements semblent s’organiser mystérieusement. Leurs diverses occurrences engendrent sur le tableau lumineux des formes géométriques simples ou complexes, des figures en tout cas trop régulières pour être le fruit du hasard (carré, croix, triangle, etc.). L’activité en apparence désordonnée du monde s’avère, une fois traduite, obéir à quelque magique principe de symétrie. avec Bettina Atala, François Hiffler, Pascale Murtin et Manuel Coursin Panorama commenté a été créé dans le cadre d’A-TIPIS, une production de VICTORIA (B), en coproduction avec le Parc de la Villette (F), Oerol Terschellingen (NL) et Forma (U.K.) Jauge limitée (45 personnes par séances) réservation conseillée ! Leyla Rabih Promeneurs solitaires création Dijon, Halle des Sports du campus de Dijon, lundi 25 et mardi 26 août, 21h30 Textes : JJ Rousseau, Nicolas Bouvier, Avec : Jacques Ville, Aurélie Namur / Musique : Chris Heenan / Création lumière : Nicolas Jarry / Technique : Yves Bouche / Mise en scène : Leyla Rabih Production : Grenier/Neuf, (Céline Monneret, Philippe Anginot), coproduction : entre cour et jardins. Grenier / Neuf est une compagnie conventionnée par la DRAC, soutenue par la Région Bourgogne et la Ville de Dijon. Variation statique et déambulatoire pour deux acteurs et un saxophoniste en environnement sportif. « Ils sont nombreux ces marcheurs qui pensent, ces penseurs qui marchent. A la fin d’une promenade, on n’est pas identique à ce que l’on était en partant. Mais qu’est-ce qui nous a changés le plus : le temps ? L’espace ? Le mouvement ? Pourquoi ces promenades sont-elles essentielles à la pensée qui se saisit ? Peut-on parler de ces échappées de manière immobile ? Peut-on s’arrêter un instant, le temps d’un spectacle, pour penser au déplacement, à l’errance ? Peut-on, dansl’immobilité, sentir ce mouvement si particulier de la pensée lorsque l’on marche ? Peut-on comprendre que l’esprit ne se laisse pas saisir, mais que la promenade permet parfois de l’approcher ? » Leyla Rabih Après Paris et Berlin (école Ernst Busch), Leyla Rabih s’est installée depuis quelques temps en Bourgogne et vient de récemment créer la compagnie Grenier / Neuf. Christian Sebille Miniature #7 – d'Ex-iL – Bussy Rabutin 2008création Bussy-Rabutin, du 11 juillet au 30 août Installation pour dix haut-parleurs dans les anciennes cuisines du château. Dominique Charpentier, Voix Didier Petit, Violoncelle Commande du festival entre cour et jardins, Centre des monuments nationaux. Dans le cadre de la résidence de Christian Sebille en Côte d'Or, Avec le soutien de Césaré, Centre national de création musicale - Reims Les Miniatures sont des installations sonores et musicales composées à partir de prises de sons réalisées sur un territoire déterminé puis diffusé par un petit orchestre de haut-parleurs. « Arrivé à Bussy, je fus guidé dans le labyrinthe du jardin et des châteaux en découvrant, ce qui me semblait à priori ridicule, l'exil de son ancien propriétaire : Georges de Bussy Rabutin. Auteur d'un pamphlet dans lequel il se moque du roi Louis XIV, il est d'abord embastillé puis exilé deux ans plus tard dans ses propriétés. Il en restera marqué et malheureux à vie, mis à l'écart de la cour, ignoré du monde dont il cherche la reconnaissance. Victime d'une exclusion insupportable pour lui et pourtant en apparence dérisoire, il est prisonnier de sa tour d'argent. De quel bonheur est-il écarté ? Entre deux, entre la cour du roi et les domaines de sa prison, entre l'intime et le public, entre le corps intérieur et la représentation des autres, il y aura les lettres des femmes auxquelles il demande leurs portraits. Avec, ils couvrent les murs
des salons et des chambres. Une relation épistolaire, symbole d'un trait d'union, mais aussi d'un impossible retour. La métaphore de la limite entre les jeux imperceptibles des représentations se construit. J'ai demandé aux deux interprètes de jouer dans le corps du bâtiment et dans les jardins. Je leur ai dessiné des parcours, des trajectoires puis je les ai enregistrés, jouant du violoncelle et récitant les textes, de loin, de près, en mouvement, immobile. Cette partition des prises de sons sera la matière première des combinaisons de la composition de l'installation. Cette installation répète comme les autres l'impossible vérité de la perception, la supercherie des sons, ceux des mots et les autres. Le mouvement des sons autour de l'auditeur crée un paysage qui jouera de l'inclusion et de l'exclusion, proposant un autre regard porté sur les murs beiges et les ouvertures des fenêtres. D’où serons-nous perçus et par qui ? De quelle mémoire percevons-nous la présence de l'autre ? La musique propose des superpositions impossibles : polyphonie d'un espace. » "On a fait tant de services partout pour Madame de Puissieux, que je n'ai fait presque autre chose que d'y assister depuis sa mort, et que d'être malade d'un fluxion qui me donne souvent la fièvre. Cela ne m'empêche pas de recevoir visite ; mais je vous assure, monsieur, que j'ai bien plus de plaisir e recevant vos lettres." Extrait d'une lettre de Madame de Scudéry à Bussy Alex Grillo, Dan Harris, Christian Sebille, Eric Noël Métaflam concert pour vibraphone, clarinette basse, ordinateur et flammes Dormans (51), mardi 3 septembre, Parc du Château, 21h Reims, Parc de Champagne, samedi 6 septembre 21h30 Alex Grillo : Vibraphone, Dan Harrris : clarinette basse, Eric Noël : Flammes, Christian Sebille : ordinateur Textes de NIMROD Composition d’Alex GRILLO « Le vent sur la terre éveille le feu. Le feu alimente le Centre. Parler du centre n’est pas aisé. C’est pourtant lui qui potentialise les relations entre les êtres riches de leur unicité, c’est par lui que nous pouvons entendre les nuances des mots, des couleurs, des timbres imprégnés de l’histoire de chacun. La parole de Nimrod sera là pour nous le rappeler. Métaflam est un concert de lumières vacillantes, éphémères, jouant des intensités et de l’espace, mêlant ses timbres à ceux tout aussi éphémères et mouvementés de la clarinette basse, du vibraphone... fusionnant avec les ordinateurs et les mots du poème qui inlassablement rebondissent du sens au son. » A. Grillo
Nous ne délivrons pas la lumière, / Elle nous délivre. Cette place étroite / Dans la flamme, cette livrée d’eau irrécusable, / Voilà les mots que réclame le vide, / Voilà notre coeur, et son attente subtile. / […] Viens donc habiter le centre, / Viens prendre possession / De ta demeure, unique, flambée... Nimrod in Pierre, poussière (éd. Obsidiane) Un vibraphoniste et un clarinettiste amateurs d’air libre et un électroacousticien connaisseur de vastes espaces vont improviser en écho avec les bouquets et rangées de flammes d’un expert pyrotechnicien. Jean-Marc Duchenne Musiques de cours Le soleil des bruits du monde (commande 2008 DMDTS/Césaré) Reims, Parc de Champagne, samedi 6 septembre 19h30, dimanche 7 septembre 15h « Je ressens mon travail un peu comme celui d'un biologiste qui tenterait de répertorier une faune infinie, et qui, en observant, élevant, faisant se rencontrer certaines espèces, certains individus particulièrement intéressants, leur donnerait l'occasion d'expérimenter des combinaisons nouvelles, de donner naissance à des croisements inédits. Chaque oeuvre est alors une sorte de mise en situation de ces êtres sonores, une confrontation avec d'autres observateurs dans des espaces qui provoquent l'attention, oscillant sans cesse entre le narratif et le plastique. » Calendrier Partenaires en co-réalisation Césaré - Centre national de Création musicale (Reims), Jardins de Barbirey, La Croix d’Agadez, festival Dièse (Dijon), Ecole nationale des Beaux-Arts de Dijon logistiques I-COM, Espaces verts de la ville de Dijon, Services techniques de la ville de Dijon, Théâtre Dijon Bourgogne Soutiens financiers, par ordre d’importance Ville de Dijon, Conseil régional de Bourgogne, Conseil général de Côte-d’Or Bar et restaurant ouverts les jours de représentation à Barbirey avec des jambons sortir du four à pain le vendredi 29 août, en collaboration avec l’association la Croix d’Agadez Tous les spectacles sont maintenus en cas de pluie, sauf tempête Tarifs 5 euro le spectacle à Dijon et Reims, 8 euros la soirée à Barbirey, -12 ans : entrée gratuite du 8 juillet au 30 août Heures ouverture Dijon, Jardin des sciences de l’Arquebuse Lauréats concours école des Beaux Arts Arts plastiques du 11 juillet au 30 août Heures d’ouverture Bussy Rabutin (21) Miniature #7 / Christian Sebille Musique Samedi 23 août 16h30, 18h Dijon, Parc de la Colombière Panorama commenté / Grand Magasin Théâtre dimanche 24 août 16h30h, 18h Dijon, Parc de la Colombière Panorama commenté / Grand Magasin Théâtre lundi 25 août 21h30 Dijon, Halle des sports Promeneurs solitaires / Leyla Rabih Théâtre mardi 26 août 19h Dijon, Jardin de la DRAC Les métamorphoses du vide / Daniel Larrieu Danse mardi 26 août 21h30 Dijon, Halle des sports Promeneurs solitaires / Leyla Rabih Théâtre mercredi 27 août 19h Dijon, Jardins de la DRAC Les métamorphoses du vide/ Daniel Larrieu Danse vendredi 29 août 19h Barbirey-sur-Ouche (21) La feuille / Emmanuelle Huynh, N. Floc’h Danse vendredi 29 août 20h Barbirey-sur-Ouche (21) Performance / Olivier Lecreux Performance vendredi 29 août Soirée Jambons sortis du four à pain… Samedi 30 août 19h Barbirey-sur-Ouche (21) La feuille / Emmanuelle Huynh, N. Floc’h Danse Samedi 30 août 20h Barbirey-sur-Ouche (21) Performance / Olivier Lecreux Performance Samedi 30 août Fin de soirée (petite) surprise mardi 3 septembre 21h Dormans (51) Métaflam / A. Grillo, C. Sebille, E Noël Musique Samedi 6 septembre 19h30 Reims, Parc de Champagne Créations de Jean-Marc Duchenne Musique Samedi 6 septembre 20h Reims, Parc de Champagne Buffet Musical Musique Samedi 6 septembre 21h30 Reims, Parc de Champagne Métaflam / A. Grillo, C. Sebille, E Noël Musique dimanche 7 septembre 15h Reims, Parc de Champagne Créations de Jean-Marc Duchenne Musique
entre cour et jardins 3 rue Alphonse Mairey 21000 Dijon réservation 03 80 67 12 30 info@barbirey.com + d’info : www.barbirey.com
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