Documentaire, Iran, France, Etats-Unis, 2013, 96’, v.o. s-t fr., 16/16 avec Bahman Mohassess, Rokni Haerizadeh, Ramin Haerizadeh
On connaît la terrible censure et les emprisonnements de cinéastes iraniens tels de Jafar Panahi. Mais qu’en est-il des artistes plasticiens? Dans Fifi hurle de joie, la cinéaste Mitra Farahani témoigne des deux derniers mois de la vie de Bahman Mohassess, légende de l’art moderne iranien. Après avoir détruit toute son œuvre et fuit les mollahs pour un exil volontaire d’une trentaine d’années, il s’apprête à réaliser son œuvre ultime, ironiquement commandée par deux admirateurs, artistes eux-mêmes, venus d’Iran. L’intrigue raconte progressivement l’histoire de ce chef-d’œuvre inconnu.
Berlinale 2013, panorama / cinéma du réel 2013, compétition internationale - prix international de la scam
titre original : fifi-howls-happiness
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